26 novembre


Festival

10h
11h
13h

Festival Cinéma Jeune Public

Le Cinéma CityClub accueille la neuvième édition du Festival Cinéma Jeune Public qui propose, à Lausanne et Pully, des films indépendants récents, des classiques du septième art, des rencontres, des ateliers et des ciné-concerts pour les enfants dès 3 ans, les jeunes, les familles et les écoles.

PROGRAMME COMPLET DU FESTIVAL
> Sur le site du festival
> Programme en pdf

Samedi 25 novembre à 10h et Dimanche 26 novembre à 11h15
"Mondes imaginaires" / Programme de cinq courts-métrages, suivi d'un atelier "Mémociné" / Dès 3 ans / 39 minutes
En présence de la cinéaste Lena von Döhren
> Billets en ligne (samedi 25 à 10h)
> Billets en ligne (dimanche 26 à 11h15)

Marea
de Giulia Martinelli (Suisse, 2023, 5') – Une famille un peu spéciale de gardien·ne·s de la lune vit sur une île minuscule. Jour après jour, elle doit faire face à des hauts et des bas: ceux de leur vie quotidienne et ceux des marées qui rythment leurs journées...

Too Big Drawing de Genadzi Buto (Bélarus, 2021, 5') – Un crayon géant habite tout l’écran. Son trait s’étend au-delà du papier, dessinant le monde réel.

Naeris de Piret Sigus et Silja Saarepuu (Estonie, 2023, 5') – Une famille un peu spéciale de gardien·ne·s de la lune vit sur une île minuscule. Jour après jour, elle doit faire face à des hauts et des bas: ceux de leur vie quotidienne et ceux des marées qui rythment leurs journées...

Le Bassin de Lena von Döhren et Eva Rust (Suisse, 2022, 9') – Un banc de harengs, adoptant des formations fantastiques, erre dans le vaste océan. Lorsque les mouettes attaquent soudainement, un petit hareng se retrouve échoué dans un bassin de marée. Alors qu’il cherche désespérément une issue, il découvre de nombreuses autres créatures…

La Poule noire de Marion Clauzel (France, 2022, 13') – Dans la chaleur de la maison de vacances, Auguste, 4 ans, se sent délaissé par sa  maman et reporte son attention sur la poule noire. Il se rend chaque matin au poulailler, le plus tôt possible, pour être le premier à ramasser l’œuf. Mais un jour, le nid est vide...


SAMEDI 25 NOVEMBRE À 11H
Projection de Linda veut du poulet de Chiara Malta et Sébastien Laudebach (France, Italie, 2023, en français, 8/8 ans)
Long-métrage présenté en compétition internationale
> Billets en ligne

Paulette se rend compte qu’elle a injustement puni sa fille Linda et elle ferait tout pour se faire pardonner. Elle ferait même un poulet aux poivrons, elle qui ne sait pas cuisiner. Mais comment trouver un poulet un jour de grève générale?


Samedi 25 novembre à 14h
Projection de L'Amour du monde de Jenna Hasse (2023, Suisse, en français, 8/12 ans)
Long-métrage présenté en compétition internationale
En présence de la cinéaste
> Billets en ligne

Sur les rives du lac Léman, Margaux, quatorze ans, rencontre Juliette, une enfant de sept ans placée en foyer, et Joël, un pêcheur récemment rentré d’Indonésie. Unis dans un refus silencieux d’affronter la vie, tous trois sont déchirés entre l’attirance, la déception et la nostalgie des pays lointains.

Dimanche 26 novembre à 10h
"Métamorphoses" / Programme de cinq courts-métrages ponctué d’activités pour les enfants, leur permettant de vivre des expériences sensibles en lien avec les films: mouvements, danse, jeux.  / Dès 3 ans / 1h
En présence du cinéaste Georges Schwizgebel
> Billets en ligne

Fadenspiele 2
de Ute et Detel Aurand (Allemagne, 2003, 8') – Des bouts de papier, de bois, de plastique et de tissu deviennent des objets mouvants et changeants à l’infini qui se transforment tout en transformant le monde qui les entoure.

Retouches
de Georges Schwizgebel (Suisse, Canada, 2008, 6') – En un coup de pinceau, un escalier roulant devient une piste d’athlétisme. En quelques coups de brosse, les ondulations d’une chevelure révèlent une forêt secouée par le vent. En une spectaculaire inversion de point de vue, un terrain de tennis tourne autour d’une balle immobile.

Une Boîte de couleurs de Len Lye (Royaume-Uni, 1935, 3') – Les images deviennent des notes de musique, les séquences des airs fredonnés, les couleurs des humeurs, le mouvement d’un élément graphique un changement de gamme. Le film se transforme en une composition musicale visuelle.

Les Monstres marins de Perrine Pype (Belgique, 2017, 7') – Sous la forme d’un documentaire, ce film part à la découverte des monstres marins qui peuplent les abysses et ceux qui remplissent les légendes. Les créatures les plus étranges ne sont pas toujours celles que l’on croit.

Voyage entre pinceau et encre d'Annlin Chao (Taïwan, 2017, 4') – Un morceau de nourriture dans le bec d’un oiseau devient un personnage qui voyage à travers les paysages de quatre peintures chinoises...

dimanche 26 novembre à 13h
"Pas de quartier" / Programme de cinq courts-métrages  / Dès 12 ans / 1h11
En présence des cinéastes Basil Da Cunha et Thirza Ingold
> Billets en ligne

2720
de Basil da Cunha (Suisse, Portugal, 2023, 25') – Jyzone sort à peine de prison. Alors qu’il a trouvé un nouveau travail, les rencontres qu’il fait sur son chemin risquent de le mettre en retard pour son premier jour. Dans un portrait chorégraphique et poétique dessiné par une caméra habile, Basil Da Cunha explore le quartier violent de Reboleira à Lisbonne.

Kill your darlings de Thirza Ingold (Suisse, 2023, 6') – S’il y a une chose que la fermière Olga aime plus que ses cochons de compagnie, c’est une côtelette de porc. Lorsque les porcs qu’elle charcute découvrent qu’ils peuvent encore influencer les événements après leur mort, un cercle vicieux s’enclenche.

Malgré la nuit de Guillermo Garcia Lopez (Espagne, France, 2023, 15') – La Cañada Real, le plus grand bidonville d’Europe situé aux abords de Madrid, est privé d’électricité depuis plus d’un an. Tonino, 13 ans, et son meilleur ami Nasser, ont fait de ce quartier leur terrain de jeu et d’aventures.

L'Avenir de Santiago Rafales (Espagne, 2022, 18') – Biel et Sara ont dix ans et profitent actuellement des derniers jours de l’été. Mais soudain, tout change lorsque leur amitié est mise à l’épreuve lors d’un jeu. Le monde que Biel croyait contrôler va s’écrouler et il ne saura plus quoi penser ou ressentir.

Aaaah! de Osman Cerfon (France, 2023, 5') – Aaaah ! c’est des cris de douleur, la surprise, l’effroi, la joie, des chants, des râles, des rires, la colère… Aaaah ! c’est l’expression avec laquelle les enfants, ces êtres primaires et innocents, font l’expérience de la vie en collectivité, bien encadrés par les coups de sifflets des adultes..


films du mois

16h

La Famille Asada

De RyÔta Nakano
Fiction, Japon, 2020, 2h07, v.o. s-t fr., 16/16

Dans la famille Asada, chacun a un rêve secret: le père aurait aimé être pompier, le grand frère pilote de Formule 1 et la mère se serait volontiers imaginée en épouse de yakuza! Masashi, lui, a réalisé le sien: devenir photographe. Grâce à son travail, il va permettre à chacun de réaliser que le bonheur est à portée de main.

Inspiré du travail du photographe Masashi Asada, connu pour avoir immortalisé ses proches dans leurs métiers ou rôles rêvés, La Famille Asada est une œuvre drôle, touchante et profondément humaine, qui rend hommage aux choses simples du quotidien qui ne disent pas leur nom mais bousculent les êtres.
«Un film aussi beau, humain et tendre que La Famille Asada ne peut que soulever le coeur (et mouiller les yeux).» (Écran Large)
«Ce récit aussi authentique qu’original chamboule autant qu’il émerveille et donne lieu à un moment unique de cinéma.» (Le Parisien)
«La Famille Asada devient alors une splendide variation sur la question de la mémoire et du deuil et sur le rôle essentiel de la photographie dans cette transmission-là. Et vous submerge d’émotion sans jamais verser dans le larmoyant.» (Première)


films du mois

18h30

Lost Country

De Vladimir Perišić
Fiction, France, Serbie, Luxembourg, Croatie, 2023, 1h38, v.o. s-t fr., 16/16

Serbie, 1996, dans le feu des manifestations étudiantes contre le régime de Milošević. Déchiré entre ses convictions et l’amour qu’il porte à sa mère, porte-parole du gouvernement, Stefan, 15 ans, mène sa propre révolution.

Co-écrit avec Alice Winocour (notamment réalisatrice d'Augustine et de Maryland, projetés au CityClub), Lost Country est le second long-métrage du cinéaste serbe. Après Ordinary People en 2009, où il abordait la question des crimes de guerre, Vladimir Perišić s'inspire de son histoire personnelle pour raconter la jeunesse en révolte contre le régime de Milošević et le déchirement intérieur d'un adolescent, partagé entre la fidélité à sa mère et ses convictions. Une œuvre implacable, sélectionnée notamment à la Semaine de la critique à Cannes.
«La puissance romanesque saisit autant que la réalité tragique. Le retour du cinéaste bouleverse par l’acuité de son regard sur un passé si proche. Quant aux visages de Jovan Ginic et Jasna Durićić, ils impriment la rétine autant qu’ils touchent au cœur et à l’âme.» (Semaine de la Critique, Cannes)
«Une lucidité implacable, qui combine la tragédie à la délicatesse du récit d’apprentissage, Vladimir Perišić conduit son film avec cette contradiction qui porte toute sa richesse et son ambiguïté.» (Les Inrockuptibles)

Rencontre cinéma
En présence du cinéaste le mercredi 15 novembre à 20h
> Toutes les informations


films du mois

20h30

Youssef Salem a du succès

De Baya Kasmi
Fiction, France, 2022, 1h37, en français, 10/12

Youssef Salem, 45 ans, a toujours réussi à rater sa carrière d’écrivain. Mais les ennuis commencent lorsque son nouveau roman est un triomphe et figure sur la liste du Goncourt: il doit à tout prix éviter que son livre ne tombe entre les mains de sa famille. Cette dernière risque en effet de ne guère apprécier qu’il se soit inspiré de leur vie, pour le meilleur et surtout pour le pire…

Film d'ouverture du VIFFF, le festival dédié aux films humoristiques à Vevey, Youssef Salem a du succès est une comédie savoureuse, emplie d’autodérision et de tendresse, sur la famille, la religion et l’héritage culturel. Ramzy Bedia excelle en écrivain inquiet et débordé, aux côtés notamment de Noémie Lvovsky et de sa sœur Melha Bedia.
«Un film drôle et généreux, porté par un Ramzy Bedia empêtré avec grâce dans des relations humaines aussi tendres qu’explosives!» (VIFFF)
«Cette comédie moqueuse touchante aborde avec tact et frontalité des sujets graves et délicats, de tous ces thèmes effacés du dialogue familial à l’instar de la sexualité brille par ce désir cathartique de "dire" ce qui ne "se dit pas". Ce que l’on ressent le mieux derrière les éclats de rire, ce sont les battements de cœur.» (Culturopoing)
«Baya Kasmi réussit un film tordant sur la notoriété, le mensonge et les injonctions dans lesquelles nous nous débattons, une farce universelle sur un sujet qui lui est cher: comment s’inventer soi-même. Elle le trouve en Ramzy, d’une tendresse inouïe.» (L'Obs)
«Par-delà un comique de situation lié au mensonge, le film n’est jamais aussi percutant que lorsqu’il sociologise son humour, exacerbant les divisions autour de l’identité arabe de Youssef, qui subit les foudres de ses frères et sœurs ou devient le nouvel objet du tribunal médiatique.» (Cahiers du Cinéma)

Partenariat
Sortie du film en collaboration avec le VIFFF – Vevey International Funny Film Festival, dont la 9e édition a lieu du 26 au 29 octobre 2023.
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